EXTRAIT
PRESSE
On retrouve dans ce livre l’écriture tout en douceur de cette autrice appréciée pour ses romans courts et percutants. Cette fois-ci, elle réussit l’improbable pari de relater la vie de Marie Curie et de sa fille Irène, qui fut son assistante de laboratoire, et ce, sans jamais les nommer, en esquissant brillamment leurs destins, leurs luttes. Un roman du soir, qui se déguste une page à la fois.
— Julie Roy, L’actualité
[Ying Chen] aborde de façon sensible et tout en retenue la vie de Marie Curie et de sa fille Irène, qui l’assista dans les champs de bataille puis dans son laboratoire.
— Iris Gagnon-Paradis, La Presse
Plutôt que de mettre en lumière le couple Pierre et Marie Curie, c’est à un autre duo exceptionnel que s’intéresse Ying Chen : celui que formaient Marie Curie et sa fille Irène, elle aussi scientifique. Mais comme dans Blessures, son précédent roman épousant la trajectoire du médecin Norman Bethune, l’écrivaine se tient judicieusement à distance du ton du roman historique pour mieux fouiller la vie intérieure de ses personnages empruntés à la grande histoire.
— Dominic Tardif, Le Devoir
Une œuvre tout à fait unique dans le paysage littéraire canadien.
— Mireille Langlois, Radio-Canada
Ying Chen possède une plume tout en douceur, évoque avec finesse l’intériorité d’un personnage qui a fait de la science […]. Parfois déroutant, avec son action et ses personnages éthérés, et reprenant de façon circulaire les mêmes motifs, autour desquels la narratrice tourbillonne, semblant chercher une forme de paix intérieure, ce court récit très introspectif offre surtout une suite de réflexions sur ce qui nous rend humains et ce que nous léguons, sur ce que signifient la patrie et la famille, et les écueils que nous affrontons mais qui finissent, indubitablement, par changer la matière dont nous sommes faits.
★★★
— Iris Gagnon-Paradis, La Presse
C’est un très court roman, voire une plaquette. Mais ce qui compte n’est pas autant le contenant que le contenu. Et il est riche en humanité, ce texte qui narre les souvenirs d’une fille laborantine assistante de sa mère, une scientifique aujourd’hui décédée. […] Ce roman est un tribut à la féminité.
— Culturehebdo.com
Ying Chen n’est ni une écrivaine traditionnelle ni une auteure de textes réalistes. Rayonnements, son quatorzième livre, s’inscrit dans cette lignée des romans intérieurs dont l’éternel thème de la quête de soi est porté par des personnages historiques et fantomatiques.
— Sarah-Émilie Nault, Le Journal de Montréal
Grâce à la finesse de sa plume, Ying Chen met en valeur le tragique et le grandiose de la vie de ces deux femmes qui ont marqué notre histoire collective.
— Nathalie Slupik, Bible urbaine
Les personnages imaginés par l’autrice semblent aussi grands que ceux qui ont l’inspirée.
— Jean-François Crépeau, Le Canada français
Ce réquisitoire pour la beauté du monde présenté sous une forme romanesque étonne.
— France Boisvert, Culture à la carte / Radio VM
Quatorzième livre de Ying Chen, Rayonnements, avec ses grandes qualités oniriques, illustre l’audace et la maturité littéraire de celle qui a su nous éblouir avec le déchirant L’ingratitude, immense roman lauréat du prix Québec-Paris en 1995 ainsi que du Prix des libraires du Québec en 1996.
— Collections
Roman / Collection « Nomades » / Prix indicatif : 10,95 $
112 pages environ / 11 x 17,6 cm / ISBN : 978-2-7609-3711-6
En librairie le 27 septembre 2023
Également disponible au format numérique - ePub