PRÉSENTATION
De 1955 jusqu’à ces jours de pandémie, Offrandes musicales enchaîne les coups de cœur, les révélations, les sanglots, les rires, les épiphanies et les émotions vives dans l’intimité de vertiges musicaux des plus personnels.
EXTRAIT
PRESSE
Que serait une rentrée littéraire sans Tremblay ? Dans Offrandes musicales (Leméac, 27 octobre), recueil s’inscrivant dans sa formidable série mémorielle (Les vues animées, Vingt-trois secrets bien gardés), Michel Tremblay dévoile les bonheurs — et malheurs — musicaux qui l’ont accompagné de 1955 jusqu’à la pandémie. En prime, l’écrivain fait revivre la truculente Duchesse dans deux récits où ce personnage incontournable de son univers assiste à un concert d’Édith Piaf et à une représentation du Boléro de Ravel à l’auditorium Le Plateau du parc La Fontaine.
— Manon Dumais, Le Devoir
Un grand virtuose des mots.
— Pénélope McQuade
Opéras, comédies musicales, variété française, divas pop : Michel Tremblay aime tout avec passion. Sans plaisir coupable. Ou si peu. Grâce à sa manière à la fois humble, émouvante et enthousiaste de décrire les airs qu’il aime tant, le lecteur voudra agrémenter le plaisir de lire par l’écoute des morceaux cités.
★★★
— Manon Dumais, Le Devoir
S’il parle des musiques qu’il aime en connaisseur, c’est à travers les émotions qu’elles font naître ou libèrent en lui qu’il se montre vulnérable. L’un des passages les plus touchants de ce petit livre révèle comment, à la mort de son « frère préféré », Bernard, c’est le Trio en la mineur pour piano, violon et violoncelle, de Tchaïkovski, qui lui a permis de vivre son immense peine.
L’autre coup au cœur qu’on prend à la lecture de ses Offrandes musicales, c’est vers la fin, où il raconte ses problèmes d’audition et l’immense deuil que cela lui impose. Sur scène comme sur DVD, c’est d’abord par l’image, par les valeurs des productions opératiques elles-mêmes, qu’il cherche désormais son plaisir.
« Tant et aussi longtemps que je pourrai regarder la musique, je le ferai. Avec une joie différente, une joie en quelque sorte détournée, mais une joie quand même. » C’est le bonheur qu’on lui souhaite.— Alexandre Vigneault, La Presse
Récits / Prix indicatif : 15,95 $
128 pages environ / 11,5 x 21,7 cm / 978-2-7609-1333-2
En librairie le 27 octobre 2021